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 Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)

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Scarecrow

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MessageSujet: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeMer 27 Juil - 13:12

    Le connaissez-vous, ce sentiment de puissance que l'on tire de l’assujettissement psychologique de son semblable -si on pouvait nommer ainsi un aliéné-, à assister à la faiblesse, au tourment d'autrui, et d'en être seul responsable ? Pour une poignée de drogues hallucinogènes et phobiques, c'est un plaisir que l'on ne peut refuser au nom de la science. Car enfin, il était avant tout un psychiatre, fervent adepte de la psychopharmacologie dont les expériences n'appartenaient qu'à l'étude des différentes manifestations de la peur, à travers le corps et l'esprit humain. La terreur, une émotion fascinante, un ingénieux mécanisme de survie face à la menace, capable d'engendrer les comportements les plus fous en fonction des individus et des peurs qui les hantent. Autant dire que la pratique expérimentale sur les internés de l'asile constituait une source de démonstrations instructives quasi-inépuisable. C'est en partie pour ses dérangés et leurs pathologies qu'il avait redirigé son parcours professionnel vers la plus que célèbre asile d'Arkham.

    Le docteur Jonathan Crane traversait les couloirs du bâtiment, mallette en main, pour se rendre à la cellule de son patient, qu'il suivait deux à trois fois par semaine pour sa consultation, dans le cadre d'une thérapie dont il faisait sa spécialité : elle consistait à confronter le patient à ce qu'il redoute le plus et ce de manière progressive dans son intensité, dans le but de diminuer les réactions de peur sur la fréquence d'exposition jusqu'à l'en désensibiliser complètement. En sa qualité de psychiatre, et bien qu'il lui fallait conserver ses cobayes pour un minimum de séances afin de pouvoir en extraire le plus d'informations utiles à ses recherches, il devait avant tout veiller à la réussite finale de ses consultations quotidiennes. Mieux vaut ne pas attirer les regards ou être perçu comme un incompétent, au risque de voir réduit l'effectif de patients attribués. Après tout, un psychiatre efficace n'a pas besoin d'être surveillé.
    ...

    « Je propose de passer à l'étape supérieure, qu'en dites-vous ? »
    Une allumette enflammée entre les doigts, le Dr Crane offrit un petit sourire au malade assis en face de lui. Officiellement, il aidait cet homme à s'accommoder de la présence du feu dans la vie de tous les jours, un confort encore inaccessible du aux cicatrices du passé : un incendie domestique fatal avait marqué son enfance, au point de l'avoir rendu extrêmement pyrophobe. Il allait jusqu'à craindre toute source de lumière, à moins de lui fournir la preuve d'une alimentation purement électrique. Une situation aussi invivable pour le patient que pour son entourage, plus particulièrement le corps médical, l'amenant à se cloîtrer dans l'obscurité dans l'espoir d'échapper à la moindre déflagration potentielle. Crane souffla sur l'allumette avant de sortir le masque de sa mallette pour le placer sur son visage et, sans prévenir, projeta une petite quantité du gaz sur celui de son patient.
    « Montrez-moi donc ce que vous feriez en cas d'alerte incendie... »
    Surpris dans un premier temps, le malade se mit rapidement à s'alarmer de ses visions réalistes. Il hurlait, hurlait à n'en plus finir. Recroquevillé, il cherchait à fuir les flammes infernales qui dansaient autour de lui, il pouvait presque entendre leur crépitement, sentir la chaleur étouffante lui bruler la gorge. Toutes provenaient du docteur Crane, dissimulé sous le masque ardent de Scarecrow, lequel ne manquait pas une miette de ce spectacle invisible, se contentant des réactions de sa victime. Terrorisée, il la vit basculer de sa chaise, peinant à reprendre son souffle. Peut-être avait-il déployé une dose un peu trop concentrée. Autre détail omis : ils n'étaient pas dans une pièce insonorisée. Et bien qu'il était de son devoir d'analyser tous les traits du comportement de son patient en état de peur intensifiée, il devait malgré tout éviter que ce dernier n'en meurt. Ce n'est jamais très glorieux comme notification sur son dossier professionnel. Jonathan n'eût d'autres choix que d'ôter la face de l'Épouvantail et ouvrir la porte de la cellule pour héler calmement une jeune femme du personnel qui se tenait immobile dans le couloir, certainement alertée par les cris.
    « Infirmière, mon patient fait une crise de panique, il a besoin d'une injection tranquillisante en urgence. »
    Le jeune homme se mit à l'écart, laissant la demoiselle prendre son matériel et apaiser chimiquement le phobique avant qu'il ne fasse une crise cardiaque, tandis qu'il rangeait son propre matériel bien à l'abri dans sa mallette sans quitter le patient des yeux. L'infirmière bien que troublée fit correctement son travail, aussi le psychiatre vint se poster derrière elle une fois qu'elle eut terminé pour lui glisser quelques avertissements :
    « Naturellement, je vous saurais gré de ne pas ébruiter autour de vous ce que vous avez pu voir ou entendre ici. Le pauvre homme a mal réagi à sa thérapie, mais j'aimerais que l'on ne vienne pas à se faire de fausses idées sur mes méthodes, vous comprenez ? Les mauvaises langues sont partout. »
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Ashley Bank

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MessageSujet: av   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeSam 30 Juil - 11:34

Aujourd'hui , Stephanie avait du pain sur la planche , les patients réclamaient de se faire soigner par la jeune femme , elle était apprécier par les patients de l'asile surement grace à son sens de l'écoute envers eux en les rassurents qu'ils vont réussir à sortir de leurs folies et son physique de infirmière sexy aussi l'aider à attirer le regards des criminels ! Tallon aiguilles transparents , blouse blanche assez courte , ses cheveux blond sur le côté avec du rouge à lèvre couleurs bordeaux .

Steph' avait l'impréssion de travaillez plus que ses collègues infirmiers , elle attirait leurs jalousie de celles ci mais Stephanie voulait simplement accomplir son travail et pas faire de la concurance . Pendant sa pause de 14 heures , la jeune femme sortie un brownie au chocolat et le dévora , elle regarda défilé les psycologues , les gardes de sécuriter avec des patients , des infirmiers , bref ... tout l'asile venait de passé sous ses yeux verts .

Soudain , elle aperçu un homme sortir d'une cellule et appelé un infirmier , Stephanie ranga son gateau dans le sachet et le laissa sur la chaise en plastique , la jeune femme se précipita vers l'homme qui n'été que le Docteur Jonathan Crane . Crane lui demanda de faire au patient une injection tranquillisante en urgence , Stephanie obeit et sortie son matériel de son sac , elle regarda une derrière fois la seringue pour voir si elle avait mis une dose suffisante de tranquillisant , elle s'approcha du patient en crise , attrapa son bras et planta d'un coup sec la pointe de la seringue dans son bras :



-C'est fini , tout va bien monsieur ... dit Stephanie en le rassurent


Le tranquilisant semblait de suite faire effet , Stephanie aida le patient à s'assoir sur le lit de mauvaise qualité , l'homme reprit son calme et remercia d'un signe de tête la jeune infimière .

Stephanie se releva et marcha vers la porte en la renferment derrière elle , Steph' se tourna vers le Dr Crane et l'écouta attentivement . L'homme lui disait qu'elle devait garder secret se qu'il fenait de se produire et que personne ne le sache et qu'elle ne dise rien aux autres pour que les méthodes du médecin ne soit pas remise en cause , la jeune femme lui souria et répondit calmement et avec gentillesse :

-Non , ne vous inquièté pas Dr Crane , chaque médecin ont leurs méthodes mais je préfére largement les votres car vous arrivez plus facilement à aider le patient même si votre reméde est assez violent pour eux ... c'est pour leurs bien ! elle posa sa main sur son épaule et continua : Je ne dirait rien ! promit !

Stephanie avait déja attendue parle du Docteur Jonathan Crane , le plus grand psycologue de la ville de Gotham ! Aujourd'hui , il été en chair et en os devant elle , Stephanie le trouvait très charment , ses yeux bleu très clair été très beau , ses lunettes lui aller à merveille , les cheveux noir , sa bouche , sa façon de s'habiller , bref ... il été très séduisent ! La jeune femme lui souria une dernière fois et lui tourna les talons pour aller de nouveaux dévorait son brownie , elle remarqua de lui qu'il n'été plus à sa place ! Certainement une femme de ménage qui l'avait jeter ! De toute façon , elle avait terminer son service , elle parcourue les couloirs pour rejoindre sa voiture dans le parking de l'asile qui se situé à l'arrière du bâtiment .
Arrivée au parking , Stephanie sortie de son sac en cuir gris ses clés de voiture et appuiya sur le bouton d'en haut pour ouvrir son véhicule mais au moment où elle voulut entrée dans sa voiture et quitter son travail qu'elle aperçue le Dr Crane , Stephanie se leva du siège et ferma la portière pour aller le rejoindre en marcha très vite perchée sur ses tallons d'environ 10 centimètres :



-Dr Crane ! Vous avez finie votre service ? lui demanda essouflé aprés avoir parcourue la moitié du parking .



Elle rajouta tranquillement :



-J'ai rien prévue ce soir ! Sa vous tente de manger un morceau au snack ? Fin ... si vous éte disponible ce soir bien entendue !



Elle se morda la lèvre inférieure et attenda une réaction de sa part ...
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Scarecrow

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeLun 8 Aoû - 16:05

    Le grand pouvoir des infirmières. Pour peu qu'elles soient d'une beauté sensuelle et serrées dans une tenue digne des plus grands fantasmes masculins, ces délicieuses créatures étaient capables d'apaiser les plus agités de l'asile, comme un supplément naturel au produit tranquillisant des seringues. Très mauvais genre certes, mais seul le résultat compte. C'était exactement l'image que donnait la jeune infirmière que Jonathan venait d'appeler, il n'y faisait plus attention depuis longtemps. Tout sourire qu'elle était, elle ne paraissait absolument pas intimidée par la requête du psychiatre, au contraire elle en vantait les traitements :
    « Non , ne vous inquiétez pas Dr Crane , chaque médecins ont leurs méthodes mais je préfère largement les vôtres car vous arrivez plus facilement à aider le patient même si votre remède est assez violent pour eux ... c'est pour leur bien ! lui assura-t-elle en allant jusqu'à déposer une main sur son épaule. Je ne dirais rien ! promis ! »
    Naïve, on ne pouvait le lui reprocher : il valait mieux pour elle qu'elle n'ait pas conscience de la nature de ses expériences ; tant que d'un point de vue extérieur elles portaient leurs fruits. Le principal était qu'elle cautionnait ses méthodes, et ne risquait donc pas d'en faire la critique dans la salle de pause des infirmières. Crane hocha la tête en approbation au visage illuminé de la jeune femme blonde, qui resta un instant postée devant lui comme à le parcourir de ses yeux verts avant d'aller vaquer à d'autres occupations. Le psychiatre quant à lui ouvrit une dernière fois la porte de la cellule pour passer la tête à travers l'ouverture :
    « Je suggère que l'on se revoit en fin de semaine, d'accord ? Nous nous pencherons sur vos réactions d'aujourd'hui. »
    Il cru entendre un petit grognement depuis le fond de la pièce, mais se contenta de l'ignorer en verrouillant la porte pour s'y adosser un moment, un sourire au coin des lèvres. Un patient assez instable, il était cependant hors de question qu'il ne lui glisse entre les doigts. Et avec le coup de frayeur qu'il avait reçu, son silence ne pouvait être que profitable. Après cette petite thérapie, Crane s'impatientait déjà de trouver un horaire pour leur prochaine consultation. La montre accrochée à son poignet lui disait plutôt de quitter le travail pour aujourd'hui, n'ayant plus d'autres malades à voir pour la soirée. Même s'il savait profiter des avantages de sa place au sein de l'asile, il n'était pas pour faire des heures supplémentaires. À bosser chez les fous, il était prudent de mesurer l'exposition à cette atmosphère déséquilibrée, pour éviter de sombrer dans les tréfonds de la folie. Le Dr Crane remit ses lunettes en place, agrippa sa mallette et alla se perdre dans les couloirs d'Arkham.

    Rendu sur le parking réservé au personnel de l'asile, le jeune homme se dirigeait mécaniquement vers sa voiture lorsqu'une voix, familière de quelques minutes à peine, l'interpella de loin. Il ne vit autre que l'infirmière blonde venir à sa rencontre, la démarche rapide malgré les hauts talons dont elle était affublée, visiblement pressée de le rejoindre. Et pour cause : comme ils se trouvaient tous deux libérés de leurs heures de travail, la jeune fille eût l'ingénieuse idée de lui proposer une alternative pour terminer la journée.
    « J'ai rien prévu ce soir ! Ça vous tente de manger un morceau au snack ? Fin ... si vous êtes disponible ce soir bien entendu ! »
    Cette infirmière était en train de l'inviter à manger un bout, lui, Jonathan Crane. En quoi cela devait l'étonner ? Peut-être parce qu'il n'était pas du genre à attirer les femmes à la pelle, que ses recherches passaient avant tout et que rares étaient celles qui supportaient d'être mises en second plan, peu importe le type de relation envisagé. Le psychiatre haussa les sourcils, sans se détacher de son air calme et imperturbable.
    « Je pense être libre pour la soirée, alors... pourquoi pas ? Je vous suis. »
    Il ne savait pas pourquoi il avait accepté l'invitation. Mais comme il n'avait rien d'urgent à faire, il pouvait bien s'accorder une petite pause. Un peu de repos ne serait pas du luxe, même si il consistait dans ce cas en une petite collation aux abords d'un snack du coin. L'infirmière vraisemblablement satisfaite ne se fit pas désirer plus longtemps et emmena son psychiatre alloué pour la fin de journée dans l'établissement de son choix, un coin sans grande prétention mais à l'allure chaleureuse, installé à quelques dizaines de mètres de l'asile. Il faut dire que peu de commerçants aiment à se trouver trop proche de la bâtisse de fous, aussi ne trouvait-on pas beaucoup de magasins à moins d'une certaine distance de "sécurité". Une fois les deux jeunes gens placés et n'attendant plus qu'un employé pour passer la commander, le Dr Crane profita de ce délai pour questionner sa jolie voisine de table.
    « Excusez-moi de relever un léger détail, mais je ne connais pas encore votre nom ? Je sais seulement que je n'ai plus besoin de me présenter. »
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Ashley Bank

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeSam 13 Aoû - 17:14

Pendant que Stephanie été entrain de regarder autour , le Dr Crane la questionna sur son nom , son regard se tourna vers cet homme mystérieux et répondit en sourient :

-Moi , Je m'appele Stephanie Dent , mon prénom et mon nom viennent de France !

Le serveur arriva et leurs distribua leurs commandes , Stephanie buva une gorgée de son coca avec la paille jaune fluo en ne quittant par des yeux le jeune Docteur :

-Sa se voit que vous aimez votre boulot ! Vous avez le temps de dormir la nuit ? demanda t'elle calmement .

Stephanie finissa sa boisson et entama les frites extrèmement salée , elle trouvée tellement le Docteur mystérieux qu'elle semblait attirer par lui , Stephanie ne pouvait rien faire pour le draguer car son fiancé est d'une jalousie maladive mais elle l'aime aussi et le Dr Crane ne semblait absolument pas intéréssé pour se plonger dans une aventure ! Il à beaucoup de travail aussi ! La jeune femme soupira et chercha une idée en tête pour engager la conversation , eh bien , ils ne semblaient pas avoir les mêmes centre d'intérét !

-Dr Crane , vous ... avez fait où exatement vos études ? Car vous avez des connaisances ... incroyable ! dit t'elle finalement pas très sur d'elle

Stephanie tenait entre ses doigts les petits pots : Sel & Poivre et les fesaient tournés entre ses mains , quand elle fesait sa , cela montrée qu'elle été mal à l'aise , Steph' ne savait pas où se mettre en face du plus grand Docteur de Gotham city , d'ailleur elle sentait sa phrase mal placée et se sentit bête pendant un instant .

Plus tard dans la soirée , Stephanie et le Dr Crane quittèrent le snack en laissant la note sur la table . Maintenant , ils marchèrent ensemble dans les ruelles sinistres de Gotham , Stephanie regardait le sol sens faire attention au regards des passants posé sur elle , à vraie dire , elle ne l'aime pas qu'on la fixe . Il commanca à faire fraie et sombre dans la ville entière , les criminels allaient surement montrer le bout de leurs nez ! Mais étrangement , la jeune infirmière se sentait en sécurité prés de Jonathan Crane , elle s'installa sur un banc les bras croisée , Steph' se tourna vers l'homme et pris la parole :

-Vous éte .... mystérieux , je crois qu'on s'est déja croisait quelques pars , non à Arkam mais .... fin bref peut être que je suis entrain de devenir folle ! s'exclama t'elle

Elle rajouta en changeant complètement de sujet :

-Eh ... Désoler pour cette question mais j'suis tellement curieuse , eh ... vous avez une femme ? Des enfants ?



HJ : Désolé pour le gros retard et pour le rp' aussi car je n'avais pas trop d'idée ! Mais promit , je vais me rattraper ! ^^
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Scarecrow

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeSam 27 Aoû - 13:20

[HRP: Ce post est maudit, je l'ai perdu à plusieurs reprises pendant l'écriture ! Mais le voilà enfin]

    Jonathan Crane n'avait plus affaire à n'importe quelle infirmière d'Arkham, elle avait un nom désormais, et même une nationalité. La sienne étaient donc une jeune française d'origine, du nom de Stephanie Dent, le patronyme n'étant pas sans rappeler celui du célèbre procureur de la ville de Gotham, son chevalier blanc, Harvey Dent. Il ne pouvait s'agir aussi que d'un nom similaire sans aucun lien de parenté entre les deux porteurs, mais le psychiatre perdit l'occasion de se renseigner sur le sujet avec l'arrivée du serveur, qui vint déposer les commandes à leur table. Chacun entama sa boisson, jusqu'à ce que la jeune femme ôte momentanément la paille colorée de ses lèvres pour demander au docteur, si assidu dans son travail, si il s'accordait tout de même un minimum de repos de temps à autre. Celui-ci répondit donc avec un sourire, après avoir remis ses lunettes en place :

    « Certainement pas, si je dors, je ne peux faire avancer la science. »
    Il s'attaqua ensuite à son sandwich, à l'allure peu diététique avec sa sauce et ses aliments qui débordaient, comme prêts à s'évader d'entre les tranches de pain. Mais puisqu'ils se trouvaient dans un snack, ce détail n'avait pas son importance. Aussi le Dr Crane ne se priva pas de sa commande, qu'il mangea à son rythme tandis que sa voisine promenait son regard entre les alentours et le psychiatre, sans prêter attention aux quelques autres individus présents dans l'établissement qui eux préféraient garder les yeux sur le joli bout de femme qu'était l'infirmière. Son attention à elle restait fixée sur Jonathan Crane lorsqu'elle se mit à le complimenter sur ses connaissances et à l'interroger sur l'endroit où il les avait acquises pour occuper ce métier aujourd'hui. Le psychiatre se trouvait flatté de cet intérêt, il aurait presque eut l'impression de se trouver devant l'une de ses anciens élèves, car en dépit de ses méthodes d'enseignement souvent perçues comme peu conventionnelles, certains étudiants étaient littéralement captivés par ses cours, le plus souvent des cas à part.

    « Je vous remercie. J'ai fréquenté la grande Université de Gotham malgré quelques difficultés financières, la psychologie de la peur est un domaine qui m'a toujours fasciné. »
    À travers les verres de ses lunettes, il n'avait pas échappé aux yeux clairs et perçants du psychiatre le passage répété des pots de poivre et de sel entre les mains de Stephanie Dent, signe évident d'un certain malaise de la jeune femme. Il y avait fort à parier qu'elle devait être intimidée par Jonathan Crane, d'une manière plus positive néanmoins que la plupart des infirmières d'Arkham lorsqu'elles avaient affaire à lui. Celle-ci était plus intriguée -mais il n'irait pas jusqu'à déduire qu'elle pouvait être également attirée-. Le reste de la conversation fut dirigée sur l'asile et les patients, le Dr Crane jouant sur ses sentiments pour voiler ses véritables pensées à l'égard de ceux qu'il considérait plus comme des cobayes de science que des êtres humains.

    Lorsque les deux employés eurent terminé leur repas, le docteur, dans le bon respect des règles de comportement, paya les commandes des deux parties avant de quitter l'établissement, toujours en compagnie de l'infirmière. La nuit tombait progressivement, l'air se rafraichissait, il était d'heure à ce que chaque citoyen rentre à son domicile pour ne pas faire de mauvaises rencontres, de coutume dans cette ville où proliféraient les criminels jusque dans les domaines les plus respectables, suivez mon regard. Ce genre d'individus n'inquiétait pas celui qui se cachait sous le masque de l'Épouvantail, toujours équipé au minimum du petit dispositif camouflé dans sa manche lui permettant de projeter son gaz. Mais curieusement, et en se basant sur le fait que la jeune infirmière était parfaitement inconsciente de la nature sombre de son accompagnateur, elle n'avait pas l'air effrayée au sein de ces ruelles, comme si elle l'imaginait capable de la protéger à la moindre approche mal attentionnée.

    La demoiselle prit la décision de faire une halte en chemin pour s'asseoir un instant sur un banc, invitant Jonathan à faire de même en s'installant à ses côtés. Sa nouvelle prise de parole ne manqua pas de susciter la curiosité de son interlocuteur quand elle lui fit part de son sentiment de déjà-vue, outre leur lieu de travail commun. Elle ne lui laissa pas le temps de méditer là-dessus qu'elle renchérit sur un tout autre sujet, comme pour contourner ce qu'elle venait de dire précédemment :

    « Eh ... Désolée pour cette question mais j'suis tellement curieuse , eh ... vous avez une femme ? Des enfants ? »
    Elle était curieuse en effet, mais tant que cela ne touchait pas de trop près à ses petits secrets privés, il était tout à fait apte à jouer la sincérité, quitte à la nuancer légèrement et à en rajouter.

    « Rien de tout cela malheureusement, personne ne partage ma vie. J'ai bien quelques prétendantes parmi mes patientes, mais ce ne serait pas très professionnel. »
    La réponse suffit à Stephanie, ce qui la laissa silencieuse quelques minutes, autorisant du même coup le Dr Crane à réfléchir sur les confidences de la jeune femme. Il se rendit compte qu'il partageait cette sensation, comme si il l'avait connu il y a longtemps de cela, trop longtemps pour que quoi que ce soit lui revienne en tête. Le seul élément qui éveillait un tant soit peu sa mémoire était le sourire radieux que l'infirmière lui avait offert à plusieurs reprises, un sourire chaleureux même s'ils n'avaient jamais pris le temps de discuter ensemble auparavant. Ce sourire lui disait vaguement quelque chose, mais quoi ? Impossible de se souvenir. Plutôt que de continuer à se triturer les méninges en vain, Jonathan Crane préféra questionner directement la concernée.

    « Vous savez Stephanie, j'ai également l'impression de vous connaitre, parlez-moi un peu de vous. »
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Ashley Bank

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeLun 29 Aoû - 12:30

La jeune infirmière ne quitta pas du regard le Dr Crane , elle voulait plus apprendre à le connaitre , lui , le plus grande psycologue de la ville ! Le medecin lui disa qu'il avait l'impréssion de la connaitre alors il voulait qu'elle parle d'elle de sa vie . Stephanie baissa pour la première fois son regard vert en se tortilliant les doigts , la jeune femme n'aimé pas trop parlé d'elle , de son passée , cela la gêner puis son passé est assez vide !

-Eh bien , je suis né en avril en France , j'ai fréquenter l'école de Richard-Coeur de lion jusqu'en CM2 puis j'ai déménager dans une autre ville proche en laissant seul mon meilleur ami d'enfance que tout mes camarades détestaients alors que c'été un petit garçon intéligent et attachant , j'été au courant que sa grand mère lui fesait du mal ! Il me l'a dit ! Alors j'ai tout dit à ma mère dans ma nouvelle maison et si j'aurait dit sa plus tôt il serait devenue mon grand frère adoptif et ... ma mère aurait porter plainte contre sa méchante grand mère ! Puis j'ai grandit à Gotham et je suis devenue infirmière !

Stephanie soupira , elle pensait à son passée , le petit garçon , elle s'en souvient , elle le protègait de ses camarades et finissait toujours au piquet ! Mal à l'aise , elle tourna sa bague de fiançaille autour de son doigt , elle releva la tête , croisa les jambes et dit au docteur calmement :

-Et vous ? Parlez moi un peu de vous fin ... si cela ne vous dérange pas !

La blonde regarda passé sous leurs yeux les citoyens de Gotham ou plutôt des gangs de racailles qu'elle évité du regard par dessus tout ! Malgré son apparence de " femme fatale " , la jeune femme n'aimé pas qu'on l'observe de longue minutes , elle n'est pas du genre à joué avec son physique !
Puis , Stephanie se leva du banc en bois et lui l'heure sur son portable : 23H50 ! Elle replaca ses cheveux caramel derrière ses épaules et dit l'air préssé :

-Il fait tard ! Venez dormir chez moi c'est pas très loin sa ne me dérange absolument pas ! Mon fiancé est en déplacement toute la nuit donc je suis seule et je déteste sa ! Surtout la nuit me fait flippé !

Stephanie souria et se dirigèrent ensemble à sa demeure , les ruelles étaient sombre et extrèment sales ! La mairie ne passer jamais là pour nettoyer ? Bref .. se n'été pas ses histoires ! Arrivé à destination , l'infirmière sortie ses clés de couleurs et ouvrie la porte en bois blanc , elle désactiva l'alarme et laissa passée son supérieurs qui observé sa maison .

-Je suis très heureuse que vous avez accepté mon invitation , vous dormirez sur le canapé si vous le souhaitez et dans mon lit aussi sa me dérange pas un peu de compagnie ! dit t'elle en rigolant

Stephanie été surprise que le docteur avait accepté son invitation , lui , qui est du genre à être froid ! Il avait changé en 5 minutes avec elle ! La jeune femme s'installa sur le soda et regarda Jonathan Crane , elle été comme attirer comme une mouche à lui , elle se pencha vers ses lèvres et lui offrie un baiser tendre et doux :

-Pardon excusez moi ! dit t'elle gêner en rompent le baiser

Elle se leva et partie dans sa chambre , elle se tourna une dernière fois vers le docteur et lui souhaita une bonne nuit .

**
Le lendemain matin
**

Stephanie , dans son lit , entendit la porte d'entrée claquée , elle se leva et ouvrie la porte , son fiancé été devant elle l'air furieux , il été certainement très jaloux qu'elle avait invité un homme dormir à la maison !

-C'est qui cet homme ? Demanda son fiancé

Stephanie soupira et répondit en l'évitent du regards :

-C'est un ami !
Elle le poussa doucement et se diriga vers Jonathan , la jeune femme lui souria et murmura dans ses oreilles :

-C'est mon fiancé , il est jaloux !
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Scarecrow

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeVen 2 Sep - 15:45

    La révélation fut bouleversante. S'il n'avait pas été endurci émotionnellement par les premières années de sa vie, entre ce qui lui faisait office de famille et les difficultés d'intégration scolaires, il n'aurait certainement pas réussi à se contrôler et masquer sa stupeur aux yeux de Stephanie Dent lorsqu'elle lui conta cette histoire si liée à la sienne. Comment l'avait-il oubliée ? Son nom n'était vraisemblablement pas suffisant pour lui permettre de se remémorer la fillette si appréciée de son enfance. Tant d'évènements et de changements étaient survenus depuis leur séparation que son jeune objectif de retrouver la petite fille avait sombré : au milieu de ses desseins malveillants et son appétit toujours insatisfait pour ses expériences, il n'y avait guère de place pour quelque chose d'aussi chaleureux que les rêves amoureux d'un petit garçon. Stephanie devait souffrir de la même amnésie, pour d'autres raisons que les siennes bien évidemment. Jonathan Crane était donc seul au courant des liens qui avaient existé il y a des années, et ne trouvait pas les mots pour l'exposer à son interlocutrice lorsqu'elle lui demanda de passer à table à son tour. Il se contenta donc de réciter l'histoire typique de n'importe quel enfant entouré de tendresse, motivé par les études dirigées vers le domaine de la psychologie, ayant su gravir les échelons par sa seule motivation et son travail personnel, et non pas à l'aide d'un certain gaz mortel, tout ce qui suffisait à le rendre normal en soit sans pour autant tomber dans la banalité.

    La discussion avait fait passé le temps, si bien qu'au moment où elle constata l'heure tardive à son téléphone, celle où il ne faisait plus bon de trainer dans les rues (aussi bien pour les bons citoyens lambdas que pour les petits criminels lors de la ronde nocturne de la chauve-souris), Stephanie Dent proposa, insista même auprès du psychiatre pour qu'il passe la nuit chez elle, prétextant la peur de la nuit et de la solitude pour le ravir à son propre domicile. Ce fut sans doute parce qu'il s'agissait de Stephanie qu'il accepta l'invitation, autrement il n'aurait jamais trouvé aucun intérêt à séjourner chez une femme -là où tout homme n'aurait pas bronché- si ce n'est une certaine perte de temps. Il se laissa donc à nouveau emporter par la belle infirmière jusqu'à la porte de sa maison, qu'elle ouvrit pour laisser entrer son invité. Le Dr Crane s'introduisit donc dans la demeure pour jauger du regard ce qui l'entourait tandis que la propriétaire des lieux s'installait sur le canapé du salon, où il ne tarda pas à la rejoindre. S'il avait été silencieux durant le trajet, aucun son de plus ne sortit de sa bouche une fois assis, l'idée inconfortable de se trouver en présence de Stephanie sans parvenir à lui faire partager ses souvenirs. Il était gêné, cela ne lui ressemblait pas, et il se trouvait ridicule de se sentir ainsi. Elle, était très contente de le recevoir. Elle ne mit pas longtemps à le lui prouver, à sa manière.

    Le baiser ne dura que quelques secondes jusqu'à ce que la jeune femme s'éloigne d'un air embarrassé, s'excusant pour ce qu'elle venait de faire, avant de quitter le sofa et partir en direction de sa chambre, sans oublier de souhaiter un timide "bonne nuit" à un Jonathan Crane quelque peu troublé. Tout avait ressurgit en une seule soirée, aussi préféra-t-il s'accorder un peu de repos dans l'espoir de se remettre les idées en place. Comme on le dit si bien, la nuit porte conseil. Malheureusement, elle ne fut pas assez longue pour lui être favorable : tôt dans la matinée, une porte claquée avec négligence fit office de réveil au psychiatre endormi sur le canapé. La venue ensuite d'un individu manifestement furieux acheva d'arracher Jonathan de son sommeil. Ledit individu interrogea Stephanie, également victime du réveil forcé, sur la présence de l'intrus masculin occupant le salon. La jeune femme blonde l'éclaira peu de temps après sur l'identité du bonhomme et les raisons de son mécontentement, forçant le médecin à se lever pour aller fournir quelques explications.

    « Dr Jonathan Crane, je travaille à l'asile d'Arkham. Stephanie m'a gentiment proposé de dormir ici car mon véhicule a été vandalisé pendant mon service, m'empêchant de rentrer à mon domicile. »
    Il servit en même temps que ce mensonge un sourire aimable au compagnon de Stephanie, même si ses pensées à son égard n'étaient pas aussi pleines de politesse et de bienveillance. Son visage lui était familier, sauf erreur de sa part, il avait reconnu là le fils Osborn, Harry de son prénom. Le psychiatre avait déjà entendu parler de lui mais ne connaissait rien de sa vie privée, ou plutôt celle-ci ne l'avait encore jamais intéressé jusqu'à ce qu'il apprenne l'existence de Stephanie et la place qu'elle y occupait. Ce n'était rien de plus qu'un énième enfant de riches, de ceux qui voient le monde comme un gigantesque centre d'achats où tout est bon à négocier et acheter, ce qui pouvait expliquer la maison, les chaussures et les divers accessoires offerts à l'infirmière. Le Dr Crane ne savait trancher sur ce qu'il détestait le plus chez cet homme à peine rencontré, sa cupidité ou son emprise sur Stephanie Dent. Devenait-il jaloux tout à coup ? L'impression était tout comme. Jonathan se tourna vers la jeune femme restée derrière lui.

    « Puis-je utiliser la salle de bain ? »
    Elle lui désigna l'endroit où se trouvait la pièce désirée. Le médecin passa à côté du gêneur matinal sans lui accorder le moindre regard et s'enferma dans la salle de bain où il put se déshabiller et profiter d'une bonne douche pour se remettre en forme. L'eau froide lui permit d'oublier sa jalousie l'espace d'un instant afin de mieux réfléchir à la situation. Stephanie Dent avait indéniablement un faible pour lui, ce qui laissait supposer que son amour pour Osborn s'éteignait peu à peu. De toute manière, il était l'élément de trop, celui qu'il fallait écarter. Un rictus mauvais se dessinait sur ses lèvres alors que Jonathan Crane songeait au sort qu'il pouvait lui réserver. Cela faisait longtemps qu'il n'avait été animé d'une telle envie de meurtre. Ses projets occupèrent son esprit au point qu'il en oublia l'eau qui coulait depuis plusieurs minutes déjà. Il tourna le robinet et sortit pour se sécher, plus détendu -assurément plus par l'idée de se débarrasser d'Osborn que par la douche en elle-même-. Une fois habillé et ses lunettes remises en place, le Dr Crane retourna auprès du couple dans le salon. Son attention se porta aussitôt sur l'infirmière, préférant ignorer le deuxième occupant de la maison.

    « Merci de m'avoir hébergé. »
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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeVen 2 Sep - 20:22

Quand le Docteur revena de la salle de bain en la remercient de l'avoir héberger , Stephanie lui souria malgré qu'elle n'été pas réveillé et répondit calmement :

-Mais de rien Docteur !
Son fiancé Harry guettait tout les faits et geste des deux médecins , il tenait un verre dans sa main gauche près à l'exploser sous la colère , Stephanie en avait marre de cette situation , elle se leva toujours enrouler d'une couverture rose autour d'elle et dit aux deux hommes :

-Bon je vous laisse , je vais aller me doucher !

La jeune femme attirer comme une mouche au Docteur Crane ne pue s'empêcher de l'embrasser tendrement sur la joue , Stephanie se releva mais sentie la main de Harry lui agripper violament son poignet , il se leva , la fusillia du regard avant d'articuler en colère :

-Tu sais qu'on va se marier bientôt ! Et j'espère que tu as pas l'intention de m'oubliè !

Il tourna sa tête vers le médecin et rajouta :

-Qu'est ce que tu lui trouve à ce gars là ? Hein ?

Stephanie lacha sa main qui été à présent libre et ne répondit , elle se contenta de baissé les yeux , abbatue par la fatigue , elle semblait perdue dans sa petite tête pendant de longues minute avant de finalement ouvrir sa bouche et dire doucement :

-Ecoute ... il ... m'attire !

L'infirmière évita le regard de son fiancé fou de rage et se diriga en marchent rapidement vers la salle de bain . Stephanie ferma la porte derrière elle , se précipita vers le lavabo pour trempé son visage dans l'eau froide . Mais que se passait t'il depuis qu'elle avait rencontré Jonathan Crane ? Juste une attirance ? Une tendre amitié ou de l'amour ? Son esprit été noyé de question trop dures pour y répondre car aucune idée ne lui éclaira les idées . La jeune femme prit une douche tiède et sa lava avec son shampoing préfèré : l'orchidée . Une foi sortie de douche , Stephanie se maquilla simplement avec du mascara et du rouge à lèvre couleurs bordeux . Elle se fit un chignion et enfila sa tenue d'infirmière remixé à son style , blouse blanche fermé avec des manches courtes , un leggins blanc en dessous assez épaie , un chapeau d'infirmière et des escarpins avec les talons transparents vertigineux . Elle poussa la porte de la salle de bain pour rejoindre les deux hommes , l'ambiance été froide , Stephanie tourna la tête vers l'horloge au dessus du frigo américain et s'exclama :

-On est en retard Docteur !

Stephanie prépara très vite son sac sens oublié son biscuit pour sa pause de 10 heures , elle prit ses clés colorés et monta dans la voiture blanche de marques lamborghini avec Jonathan Crane et activa le contact et fonca vers l'Asile . Pendant le trajet , Stephanie semblait étre ronger par la culpabilité , elle soupirait plusieurs fois et évitant de croiser le regards le Docteur puis elle décida finalement de tout dire à Crane :

-J'ai besoin d'une thérapie ! C'est pas possible ! Je devient dingue ! Et ... je suis vraiment désoler pour hier soir de vous avoir embrassée ! Mon fiancé et moi , nous devons très bientôt nous marier ! Je suis sincèrement navré ! Vous devez me prendre pour une idiote ! dit t'elle mal à l'aise

Arrivée à destination , Stephanie gara sa voiture dans le parking réservée au personnel de l'asile , une foie la voiture garé , Stephanie appuiya sur la petite télécommande pour fermer son véhicule et suiva Jonathan Crane vers l'ascenseur qui conduisait à l'accueil du bâtiment . Dans l'ascenseur , aucun son de sa vois sortie de sa bouche , elle été complètement ailleur et elle n'avait vraiment pas envie de travailler aujourd'hui !
Les portes ouvertes , les deux médecins sortirent de la machine sale et marchèrent vers le bureau d'accueil de l'Asile , Stephanie posa son sac par terre et prit la parole vers la secrètaire de l'hopital :

-Bonjour Madame ! Eh ... Dr Jonathan Crane et moi Stephanie Dent sommes en retard !

La jeune femme à la blouse blanche avec ses cheveux frisée courts et roux ouvra son cahier nota quelques lignes dessus sens que Stephanie ne sache à quoi sa coresponder , la jeune femme qui avait l'air d'avoir même pas 25 ans leva la tête en sourient :

-C'est noté ! Etrangement beaucoup de monde ici sont en retard !

Elle laissa le Dr Crane prendre la parole quand soudain la vision de la jeune femme diminua , se transforma en floue , elle ne voyait plus rien sauf la couleur des yeux de la secrètaire , elle essaya de se reprendre en main en se disent que se n'été rien mais impossible ! L'infirmière passa sa main sur son front , elle avait des fourmie dans les mains et sa tête ne lui répondit plus ni son corps d'ailleur ! Ses pupilles étaient extrèmement dillataient ! elle croisa ses bras sur le comptoir , ses jambes tenaient à peine debout et elle entendit juste la voix de la jeune secrètaire dire :

-Dr Crane , je crois qu'elle va faire un malaise !


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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeVen 9 Sep - 20:38

    Motivée par une petite douche pour s'offrir un réveil plus revitalisant que celui que lui avait offert son compagnon, Stephanie s'apprêta à partir en direction de la salle de bain à présent libérée. Elle eût cependant le malheur de faire une bise au Dr Crane au passage, ce qui avait aussitôt attiré les foudres de monsieur. Après qu'il ait mentionné un projet de mariage, la future épouse trouva judicieux d'avouer son attirance pour le psychiatre qui avait passé la nuit ici même. Elle s'éclipsa aussitôt après, abandonnant là les deux hommes pour ne plus avoir à rester dans cette atmosphère tendue. Le mot était faible : Osborn avait l'air sur le point de sauter à la gorge de l'étranger venu lui ravir sa femme. Ce dernier s'affaira à replier la couverture utilisée pour la nuit et à arranger le canapé où il avait dormi, sous le regard noir de son hôte. Habitué à traiter des cas parfois violents à l'asile, et disposant toujours de ses produits en cas de défense, il resta impassible face à tant de rancœur. Jonathan Crane n'estimait pas être celui à qui l'on devait faire des reproches. L'objet de cette mauvaise entente revint finalement de la salle de bain, habillé et pomponné. La jeune femme souligna l'heure tardive qu'il était, lui offrant l'occasion de partir pour ne pas subir le courroux de son futur-ex-mari. Les deux employés d'Arkham quittèrent donc rapidement la maison à bord du véhicule de l'infirmière. Le trajet baigna dans un silence gêné, jusqu'à ce que la conductrice se confie au docteur, notamment à travers de nombreuses excuses pour son comportement, jugé indécent par rapport à sa situation. Crane ne répondit rien.

    Ils arrivèrent inévitablement en retard, ce que témoigna Stephanie Dent à la jeune femme postée à l'accueil de l'asile. Celle-ci releva une curieuse épidémie générale de retards. Rien de bien étrange si l'on notait le fait que le directeur de l'asile guettait rarement l'heure d'arrivée de ses employés, certainement trop occupé à trouver de nouveaux moyens de faire plus de bénéfices et surtout d'économies sur la plupart des traitements. Il fallait soigner, mais le faire à des frais réduits était toujours plus appréciable. Le psychiatre s'interdit d'en faire le commentaire auprès de la secrétaire et attendit qu'elle termine sa paperasse avant de les laisser filer. Mais à la place, elle réclama vivement son attention en voyant l'infirmière blonde sur le point de s'évanouir.

    Ses jambes, tremblotantes, ne pouvaient plus la retenir : le Dr Crane eût le réflexe de la prendre dans ses bras juste avant qu'elle ne perde l'équilibre, et la tira jusqu'à la rangée de sièges de l'accueil pour l'y allonger. Il essaya de lui parler pour la maintenir éveillée, mais elle semblait déjà inconsciente. Il vérifia donc immédiatement son pouls pour définir ce qui venait de la foudroyer, fort heureusement il n'y avait rien de grave. D'après son rythme cardiaque, il ne s'agissait que d'un malaise vagal, qui avait également provoqué sa perte de conscience.

    « Apportez-moi un linge mouillé. »
    La secrétaire de l'accueil s'empressa d'exécuter sa requête, pendant qu'il déboutonnait le haut de la blouse de la jeune femme évanouie afin de faciliter sa respiration. Il ne pu s'empêcher de baisser les yeux par moments sur le décolleté dévoilé de l'infirmière. Lorsqu'il reçu la pièce de tissu imbibé d'eau, le psychiatre frotta doucement le visage et la gorge de Stephanie pour la rafraîchir. Il est vrai qu'il faisait assez chaud une fois à l'intérieur de l'asile, ce qui devait être en partie la cause de son malaise. Jonathan Crane demanda à la demoiselle rousse de prévenir le responsable du personnel soignant au sujet de l'absence de Stephanie Dent pour la journée, selon son diagnostique la jugeant inapte à accomplir ses tâches correctement. La secrétaire ne fit aucune réflexion sur cette autorisation généreuse et alla passer son coup de fil. Assez exagéré pour un malaise certes, mais il avait bien remarqué que la jeune femme n'était pas du tout dans son assiette depuis ce matin, et cela aurait eu un effet plus que négatif sur les soins prodigués tout au long de cette journée. L'état d'esprit a son importance ainsi qu'une forte influence dans tout ce que l'on entreprend. L'inconsciente revint à elle au bout de plusieurs minutes, visiblement affaiblie à son réveil.

    « Vous allez mieux ? »
    Le Dr Crane releva la jeune femme blonde -sans oublier de refermer sa blouse auparavant- puis l'aida à se rendre jusqu'à la salle de pause des infirmières où elle pourrait reprendre ses forces, récupérant son sac laissé devant le bureau de la secrétaire au passage. Il la fit s'asseoir et chercha dans le mini frigo à disposition de quoi lui redonner un peu d'énergie. Optant pour des barres aux céréales et une bouteille d'eau, il déposa le tout sur la table avant de s'installer à côté de Stephanie et la laissa manger un peu, ce qu'elle n'avait pas fait à son réveil, avant de la questionner.

    « Avez-vous des antécédents médicaux ou un traitement en cours qui pourraient justifier cette perte de connaissance ? »
    L'usage était de vérifier si aucun trouble de santé n'était à l'origine du malaise, mais il se doutait que ce devait plutôt être l'émotion, l'anxiété et la fatigue, projetées contre une barrière mentale très fragile. Ses craintes vis-à-vis de son mariage, les doutes sur ses sentiments, autant de facteurs qui avaient raison de son moral et la réduisaient au déséquilibre. Scarecrow en temps normal s'en serait délecté, assurément. Jonathan n'insista pas davantage sur ce qui s'était passé entre la veille et ce matin, pour ne pas accroître sa culpabilité, et informa la jeune femme du congé qu'il avait demandé pour elle :

    « J'ai signalé à votre supérieur que vous ne pourrez travailler aujourd'hui pour des raisons médicales. Vous devriez en profiter pour vous reposer un peu afin d'éviter que cela se reproduise. »
    Il jeta un coup d’œil à sa montre pour vérifier à quel point ils avaient été retardés dans leurs horaires respectifs. Ce n'est pas comme si ses patients l'attendaient impatiemment. Ils étaient peu à apprécier la médecine du Dr Crane, mais tous avaient en commun un spectaculaire mutisme quant à ses méthodes, ce qui n'était pas une mauvaise chose, pour lui en tout cas. Mais une fois encore, qui irait remettre en cause les paroles d'un psychiatre diplômé confrontées aux plaintes de quelques malades mentaux trop douillets ? En reportant son attention sur sa voisine, il lui vint de nulle part l'envie de rendre service. Il n'avait de toute manière rien à y perdre.

    « Ma voiture est toujours sur le parking. Je peux vous raccompagner chez vous si vous le souhaitez. Je n'aurais qu'à décaler mes séances. »
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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeDim 11 Sep - 15:04

La jeune femme sentait son corps qui avait perdu toute son énergie et toutes ses forces . Pendant de longues minutes , Stephanie était comme plongée dans un profond sommeil . Lentement , sa tête se reconnecta à la réalitée , elle ouvrit ses paupières qui laissait désormais place à ses yeux verts pommes . L'infirmière regarda autour d'elle et son regard se posa sur le Dr Crane se qui lui provoqua un doux sourire :


« Apportez-moi un linge mouillé. »

-Qu'est ce qui m'est arrivée ?
murmura t'elle encore dans les vapes

Le Docteur aida Stephanie à se relevait et l'aida à rejoindre la salle de pause des infirmiers . Le jeune homme la fit assoir et elle s'enfonca sur le dossier de la chaise blanche en plastique en fermant les yeux pour reprendre ses esprits . Le medecin posa sur la table en verre des barres aux céréales et une petite bouteille d'eau . La jeune femme entama la barre aux céréales , elle soupira l'air écoeuré de se qui venait de se produire à l'entrée de l'asile . Jonathan lui demanda si elle prenait un traitement pour éviter qu'elle tombe dans les pommes . L'infirmière releva la tête vers le charmant psychiatre , fronça les sourcils et répondit calmemant :

-Non rien , aucun traitement , c'est la première fois que sa m'arrive , c'est étrange ...

« J'ai signalé à votre supérieur que vous ne pourrez travailler aujourd'hui pour des raisons médicales. Vous devriez en profiter pour vous reposer un peu afin d'éviter que cela se reproduise. »

Stephanie se leva pour jeter l'embalage dans la poubelle en inox et s'installa de nouveau sur la chaise :

-je vous en remercie Docteur ! répondit t'elle en lui sourient

« Ma voiture est toujours sur le parking. Je peux vous raccompagner chez vous si vous le souhaitez. Je n'aurais qu'à décaler mes séances. »

La jeune femme le regarda l'air étonner , il ferait sa pour elle ? Alors que d'aprés ses collégues , le Dr Crane était un homme froid et solitiaire . Stephanie buva une gorgée d'eau fraîche et répondit surprise :

-J'espère que sa ne vous dérange pas ! s'exclama t'elle

Elle se leva et attrapa son sac en cuir gris et le suiva jusqu'a son véhicule , Stephanie ouvra la portière et s'installa à côté du conducteur . Pendant le trajet , Stephanie Dent remercia le docteur de lui avoir portée secours pendant son malaise en le ne quittent pas des yeux une seule seconde ! Les minutes passèrents et la jeune femme récupéré des forces malgrés que la fatigue se lisait dans son regard . Arrivée chez elle , Stephanie laissa entrer le psychiatre , elle renferma la porte derrière elle et dit d'une vox sensuelle à Jonathan :

-Vous avez deux minutes ?

La jeune femme s'avanca vers lui , agripa sa cravate et l'embrassa tendrement , se baiser aller bientôt se tranformait en baiser sauvage ! Les deux jeunes gens se retrouvèrent sur le sofa , Stephanie se mit sur le corps allongé du médecin et déboutonna sa chemise et caréssa son torse , Stephanie l'embrassa avec amour , elle descendit plus bas et déboutonna son pantalon tout en prenant son temps , Stephanie passa sa main sur son entrejambe en caréssent son membre . La jeune infirmière dévoila son pointrine au Psychiatre , elle jeta son soutien gorge et descendu , elle lui enleva le boxer en lui jetant un regard coquin , l'infirmière mit son sexe dans sa bouche et commenca à faire des va et vient puis elle remonta plus haut , se mit à cheval sur lui et mit son sexe en elle en poussant des cris de plaisirs , elle accéléra la cadense et ils arrivèrents au 7ème ciel ensemble .



2 heures plus tard ...

Clac ! Stephanie se réveilla en sursaut , des couvertures tenait au chaud son corps nu , elle se leva et entoura la couverture autour de corps bronzé . Jonathan Crane était surement partie travaillait juste aprés qu'ils est fait l'amour ensemble . Son fiancé rentra du travail l'air épuisé , son sourire s'effaca d'un coup , pourquoi ? La jeune femme commençait à s'en laissait de son fiancé . Chaque fois qu'il rentrer du travail , le couple se disputait violament et cela commence à se reproduire tout les jours et sa en faisait trop pour la demoiselle .
Harry regarda sa montre et dit à la jeune femme s'en même la regarder dans les yeux :

-Humm ... ta dormie je voit , ta pas travailler aujourd'hui ?

Stephanie ne répondit pas et le laissa poursuivre :

-Bon , j'ai un rendez vous ce soir !

Son fiancé lui donna un baiser , pendant le baiser , Stephanie ne ressentait plus rien , d'habitude leurs baiser pouvait durer des heures ! Son fiancé mit sa veste et s'en rien dire , il quitta la maison , Stephanie en profita pour aller rejoindre la douche . Pendant ce temps , Harry arriva au parc de Gotham juste en face de l'asile , il marcha les mains dans les poches et soudain il aperçue le Dr Crane :

-J'suis enfin là ! Pourquoi tu veut qu'on se rencontre ? Imbécile ! dit t'il d'un air moqueur

Il s'approcha de lui presque furieux et rajouta :

-Tu veux me voler ma fiancée ! Hein ! C'est pas vraie ? Pfff ! Qu'est ce qu'elle te trouve ? Tu est tout maigre ! Un squellete !
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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeDim 25 Sep - 10:17

    Elle parût très surprise de sa proposition, peu commune de la part du docteur Crane, mais accepta néanmoins avec grand plaisir. Ils retournèrent donc au parking pour occuper cette fois-ci le véhicule du psychiatre qui les ramena à leur point de départ, la maison de Stephanie. Tout au long du trajet, celle-ci n'avait cessé de jeter des regards appuyés sur le conducteur. Une fois rendus à bon port, il accompagna la jeune femme jusqu'à sa porte, ou plutôt jusque dans son salon puisqu'elle l'avait invité à rentrer. Il n'eût le temps de répondre à l'appel charmeur de l'infirmière qu'elle l'embrassa de nouveau, plus confiante que la veille. Jonathan ne résista pas longtemps à ce baiser passionné et se laissa guider par la belle blonde qui ne manquait pas de suite dans les idées. Ils se retrouvèrent donc allongés sur le canapé qui avait déjà assisté à leur premier baiser, le psychiatre en proie aux ardeurs de l'infirmière, cédant à ses embrassades et à ses caresses tandis qu'elle le déshabillait. Il prit plaisir à l'admirer lorsqu'elle se dévoila à son tour : elle était sublime. Après de torrides préliminaires, elle ne tarda pas à venir le chevaucher, ondulant son bassin avec sensualité, agrémenté de gémissements tous plus délicieux à son oreille. Lui ne put se retenir de passer ses mains sur le buste de la jeune femme, y poser ses lèvres et laisser glisser sa langue sur chaque parcelle de peau afin de lui soutirer plus de réactions. Cette passion ne s'acheva qu'au moment commun où le plaisir des deux jeunes gens arriva à son paroxysme, les laissant ensuite épuisés et enlacés dans les bras l'un de l'autre.

    ...
    Crane avait passé un moment à regarder Stephanie, paisiblement endormie à côté de lui. Ne voulant pas la réveiller, et parce qu'elle était la seule à avoir sa journée de congé, il se leva le premier pour aller prendre une douche rapide et se rhabiller, conscient du léger retard qu'avait pris l'ensemble de ses rendez-vous. Mais peu importe, là où ils étaient, ses patients ne risquaient pas de s'en aller. Il revint dans le salon pour déposer une couverture sur le corps nu de la jeune femme, passa une main sur ses cheveux blonds avant de quitter les lieux en direction de sa voiture.

    De retour à l'asile le psychiatre enchaina ses quelques séances, l'esprit ailleurs. Au moins les malades de cet après-midi pouvaient souffler jusqu'à leur prochaine visite : aucun d'entre eux n'avait été malmené. Ses songes, après s'être dédiés à Stephanie Dent, se reportaient sur son encombrant fiancé dont il n'avait encore eu l'occasion de régler le compte. Il profita donc d'une pause pour passer un coup de fil à l'homme en question, dont il avait récupéré le numéro du cellulaire de l'infirmière pendant son sommeil. Bien que peu enjoué à l'idée de refaire sa rencontre, Osborn accepta finalement le rendez-vous fixé par le médecin, non sans spécifier qu'il viendrait à l'heure qui lui plaisait. Le Dr Crane passa la fin de sa journée de travail au parc de Gotham, non loin d'Arkham, à attendre la venue de sa majesté. Lorsqu'elle arriva, elle ne s'encombra guère des formules de politesses. Le gorille l'attaqua aussitôt verbalement en lui reprochant de vouloir s'accaparer celle qui, d'après lui, lui était due ainsi que les futurs liens sacrés du mariage le stipulaient. Il ne manqua pas non plus de souligner au passage la silhouette frêle de son rival, ce qui arracha à ce dernier un sourire sans joie.

    « Pas un squelette, Mr Osborn... un épouvantail. »
    Son interlocuteur ne semblait pas comprendre ce qu'il voulait dire par là, quoi de plus normal. Il était amusant de comparer l'originalité de l'homme avec celui de ses anciens camarades de classe, qui avaient néanmoins pour eux de l'avoir affublé de surnoms plus recherchés, même si à répétition ils ne restaient pas plus agréables à entendre.

    « Votre fiancée n'est pas un objet, et je ne veux pas la "voler". Interrogez-vous plutôt sur ce que vous n'arrivez pas à lui apporter. Car force est de constater que je la satisfais bien mieux que vous. »
    Crane afficha un sourire arrogant. Ce qui, avec sa remarque, lui valût un coup de poing majestueux au visage de la part de l'autre homme. Le contraste des carrures se fit bien sentir alors que le médecin fut envoyé au sol sous la force brute de Osborn, lequel n'avait pas oublié de s'acheter une musculature suffisamment développée, grâce à la richesse familiale. Au moment où il s'approcha pour agripper le psychiatre par le col, celui-ci enclencha le dispositif dissimulé dans sa manche pour projeter une petite quantité gaz hallucinogène au visage de l'agresseur afin de le faire lâcher prise. Il manqua de perdre l'équilibre avant de se plaindre en prenant sa tête entre ses mains, comme s'il aurait cherché à la faire exploser sous la pression exercée sur ses tempes. Cela permit au Dr Crane de se relever et d'aller récupérer ses lunettes égarées un peu plus loin suite au coup. Il essuya brièvement son visage d'un revers de bras puis ouvrit sa mallette de travail, posée à terre, pour en sortir son masque.

    « Je dois vous dire Harry, vous auriez fait un piètre mari, et c'est rendre service à Stephanie que de la débarrasser d'un poids tel que vous. »
    Lorsque le poids en question se retourna, il se vit face à face avec l'Épouvantail, et reçut de sa part une nouvelle projection de gaz en pleine figure. La seconde bouffée se révéla plus importante, si bien que le sujet se mit à gesticuler comme un damné pour se débarrasser de ses visions. Scarecrow voulut lui faire goûter de sa cuisine une troisième fois, mais plus rien ne sortit de sa manche. Agacé, il poussa le fiancé de Stephanie qui atterrit dans l'eau de la mare située à quelques pas de là. Elle était peu profonde malheureusement et n'aurait pu servir de tombeau aquatique. Il laissa Osborn patauger dans son bain, pendant qu'il récupérait une dose de produits phobiques de sa mallette pour l’en assommer une nouvelle fois. Cette fois le martyr était pris de convulsions, mais l'Épouvantail avait beau s'empêcher de porter secours à personne en danger, celle-ci refusait obstinément de passer l'arme à gauche en dépit de la concentration de gaz inhalé.

    « Pourquoi tu ne meurs pas ! »
    Il aurait pu l'étrangler sur place, noyer sa tête sous la petite quantité d'eau à ce moment, bien qu'il se répugnait d'ordinaire à assassiner quelqu'un de ses propres mains, tant il avait envie de se débarrasser de lui. Puis il réfléchit à ce qu'il pourrait faire de cet encombrant survivant. Plutôt que de se risquer à laisser des empreintes pouvant être dévoilées dans les locaux de police, il était plus raisonnable de profiter des avantages de son métier. Crane retira alors son masque et prit son téléphone pour contacter le service d'urgence de l'asile.

    « Ici le Dr Crane, envoyez une ambulance au parc de Gotham, j'ai un individu très agité qu'il faudrait confier aux traitements intensifs... Oui, je pense qu'il aura amplement de quoi payer ses soins. »
    Après avoir rangé ses affaires, le psychiatre vint tirer tant bien que mal le corps d'Harry Osborn hors de sa pataugeoire. Il parlait seul, encore sous les effets de ses visions, et gesticulait comme s'il essayait de frapper des choses invisibles. Il serait d'autant plus crédible aux yeux des médecins. Ceux-ci arrivèrent sur les lieux en peu de temps pour récupérer malade et psychiatre, direction l'asile d'Arkham. Tandis qu'on droguait et attachait solidement Osborn pour le calmer et prévenir de toutes réactions violentes, de celles qui avaient déjà suffit à assommer deux infirmières et le pauvre concierge qui passait par là, le Dr Crane s’éclipsa un instant à l'extérieur pour passer un second coup de téléphone :

    « Stephanie ? J'aimerais que tu viennes à Arkham. Ton fiancé vient d'être interné. Il essayait vainement de se noyer dans la petite mare du parc de Gotham quand je l'ai aperçu. Peux-tu passer tout de suite ? Ils ont besoin d'informations détaillées pour son dossier, et tu es la personne la plus proche de lui à l'heure actuelle pour renseigner les médecins sur ses antécédents. »
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Ashley Bank

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MessageSujet: Re: Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent)   Retrouvailles à la maison des fous (~Stephanie Dent) Icon_minitimeMer 28 Sep - 14:24

La jeune infirmière sortait à peine de la salle de bain que son téléphone tactile posée sur la table basse en verre du salon , sonna . Stephanie empoignia son mobile et décrocha , c'été Jonathan au bout du fil lui dire de débarquer à son lieux de travail car son fiancé avait fait une tentative de suicide .
Sous le choc , la jeune femme se cloua sur le canapé et déclara avec beaucoup d'émotion :

-Mais comment est-ce possible ? Pourquoi il à fait sa ? Il n'est pas du genre suicidaire !
Stephanie se soumetta à la demande de docteur et se précipita d'urgence vers l'asile Arkam . Pendant la route , Dent n'arrivait pas à parvenir à se concentrait sur sa route en évitent de justesse un énorme camion .
Arrivée sur place , Stephanie troussait les couloirs de l'asile , elle poussa ses collègues , gardes pour parvenir à ses fins . Elle était essouflait quand elle apperçut l'homme qui avait demandé sa main le soir de son anniversaire , complètement fou , attaché fortement contre une chaise . Cette vue lui déclencha un goût amer , son visage été indéchiffrable ! Triste et dégoûté de le voir elle baissa le regard et s'orienta vers le nouvel homme de science que son coeur avait élu . Un léger sourire s'afficha pour la première fois sur ses lèvres qui n'était s'été fois pas recouverte de rouge à lèvre rouge bordeaux et jasa :

-Je comprend pas ! Comment est-ce possible ?! Je vais m'approchais de lui pour voir comment il réagit !
Tu croit que c'est dangeureux ?


Stephanie contempla une dernière fois le doux visage poupin de Crane et s'approcha de Harry . L'homme murmurait un nom étrange qu'elle n'avait jamais entendue sortir de sa bouche depuis qu'ils étaient en couple ! " Epouvantail " Voila le mot qu'il prononçait avec peur et qu'il ne prêtait aucune attention à sa fiancée qui murmurait :

-Il à complètement perdue la tête !


Elle quitta la pièce et s'avança vers le jeune homme et lui proposa d'aller prendre l'air aprés avoir donner des informations à sa collégue pour complèter au mieux le dossier de Harry .
Les mains dans les poches de son jean , les deux jeunes gens cheminaient à l'extérieur de l'asile ; Stephanie s'installa sur un banc et s'exprima franchement :

-Ecoute .... il faut qu'on parle ! Aprés tout c'est qui s'est passée entre nous ... faut qu'on en parle ! Nous deux ... on s'est rapproché ! Tu voit ? Harry est devenue taré mais ... cet aprés midi avant que j'apprène la nouvelle , je suis allée informer la famille de Harry pour leurs avouer que je ne désirais plus me marier et que je suis tombée amoureuse d'un autre homme ! Ils ont étaient choqué mais on eu la véritée en face ! Et cet homme auquel je suis tombée amoureuse .... c'est toi ! Je suis tombée amoureuse de toi !

Elle se releva à sa hauteur et rajouta :

-Dit le ... avoue le .... Est ce que tu m'aime Jonathan Crane ?

Stephanie Dent posa son regard fatigué dans les yeux bleu clair de son interlocuteur et attenda sa réponse puis elle lui coupa la parole :

-J'ai ... trompée mon fiancé ! On a couchée ensemble ! On s'est .... embrassée ! Est ce que ... fin ... normalement c'est à toi de me le demander mais est ce que ... tu veux qu'on se stablise ? Je sais c'est rapide .... c'est dégueulasse pour Harry mais j'assumerais .... alors ?

Stephanie posa ses mains sur les épaules de jeune homme et attenda une réaction de sa part .
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